Février s'annonce 75ieme de Bob Marley, le métis jamaïcain qui a marqué des vies tant au point de vue sociale, culturelle, ou spirituelle. Il a toujours refusé la politique mais les messages passés à travers ses musiques rend à cœur son devoir civique, ce qui lui poussera en exile.
Robert Nesta Marley a combattu pour le reggae et fait de lui une musique universelle.
Élevé d'un ghetto, dans une famille de mère à la fois père, Marley n'a pas oublié les violences, les mafias, les politiciens, les démunis et victimes en l'occurrence les femmes : no woman,no cry (non femme, ne pleure pas).
Il se souvenait de sa voisine battue, tuée par son mari par un tuyau. Crime dont il était témoin à 14 ans. Artisan de paix, passionné de foot, il trouvera ses blessures dans son orteil qui plus tard prendra sa vie en raison d'un cancer révélé en cette partie de son anatomie.
Rédemption Song (1979) en est son témoignage. Eteint en 1981 à l'Université de Miami et à son fils Ziggy il prononça « l'argent ne peut pas acheter la vie ».
Encore des citations qui peuvent toucher des personnalités :
« La grandeur de l'homme ne se mesure pas à la richesse qu'il acquiert mais à son intégrité et à sa capacité à affecter positivement les gens autour de lui »
« Combat le diable avec cette chose que l'on appelle l'amour »
« Ne vis pas pour que ta présence se remarque mais pour que ton absence se ressente »
Que l'on soit noir ou blanc, riche ou pauvre, que l'on soit du monde rastafari ou pas, de par sa musique reggae, Bob Marley aide à la liberté de l'âme et de l'esprit.
Salut à sa mémoire.
Rédactrice - Economiste
18/02/20 0 444 5
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